La puissance de la pensée (cliquez sur la photo)

Cet article est la suite de l’article “ET L’HOMME CREA DIEU ” que vous trouvez dans ce lien.

Au sens large:

La pensée est une activité psychique, consciente dans son ensemble, qui recouvre les processus par lesquels sont élaborés, en réponse aux perceptions venus des sens, des images, des sensations, des concepts, que l’être humain associe pour apprendre, créer, agir.

Cette définition émise par « Wikipedia » nous agrée car elle corrobore la primauté de nos sens sur l’élaboration de la pensée.

Aussi lorsqu’on sait que notre être, poussière d’étoile avant tout sensorielle, porte dans ses molécules la mémoire biologique de l’histoire de la vie depuis le Bing Bang, nous pouvons dire que nos perceptions sont agrégées à ce passé et de ce fait, sont une projection de SOI.

On retrouve le bienfondé de ce propos en remarquant que nous avons tous une perception différente de la réalité en fonction de notre histoire personnelle.

D’autre part concrètement, la pensée s’élabore dans la mise en connection de nos milliards de neurones, elle est d’origine biologique et en ressort en énergie physique.

Il en résulte donc une énergie biophysique consciente qui est la pensée. Celle-ci peut divaguer mais peut aussi être conduite, dirigée dans un sens précis, encore faudrait il lui donner l’énergie de base nécessaire pour qu’elle agisse dans un sens donné.

1943

J’avais 8 ans, mon frère Jean , mon ainé de 9 ans, tombe gravement malade, une pleurésie diagnostique le médecin. Il avait 42 ° de fièvre. A cette époque il y avait la guerre et pas de médicament. Le médecin ne laissait que peu d’espoir a ma mère, effondrée. Son désespoir provoqua chez moi, d’abord une terreur, puis une colère car je n’acceptais pas que mon frère meurt et que ma mère pleure. Mon père catholique m’avait initié à a sa foi en m’apprenant les prière en Italien. Donc j’avais la foi. Je me suis isolé etI j’ai lâché prise a mes émotions, je me suis laissé emporté par elles. J’ai pleuré et en même temps j’envoyais mes pensées sur le corps de mon frère. Je le guérissais tout en demandant à Dieu de le guérir .

Le lendemain mon frère n’avait plus de fièvre et réclamait à manger. Personne n’avait cherché à comprendre ce qui s’était passé, trop heureux que mon frère s’en soit sorti. Mais moi j’ai fait le lien entre ce que j’avais vécu émotionnellement et les pensées de guérison que j’avais émises.

1946

J’avais 11ans. J’étais dans une ferme en Auvergne, car j’avais attrapé la tuberculose et je devais changer d’air. J’étais content d’être a cet endroit, surtout qu’il y avait là une petite cousine de 10 ans avec qui je jouais au docteur et on se touchait le sexe.

De retour dans notre village, ma petite cousine est transportée d’urgence a l’hôpital pour une péritonite aigue. Forte fièvre. A cette époque elle était condamnée faute de médicaments.

Je me suis senti coupable d’avoir touché son sexe et je me suis mis dans la même trans émotionnelle que lorsque mon frère était malade, en utilisant la foi de ma pensée guérisseuse.

Le lendemain elle était guérie.

La foi

La foi est une puissance capable de surpasser le normal. Les miracles de Jésus proviennent de la foi des personnes qui croyaient en lui.

On amena un aveugle a JESUS, l’aveugle demanda « redonnes moi la vue » es ce que tu crois que je peux le faire ? demanda JESUS. Oui affirma l’aveugle, alors par deux fois JESUS imposa ses mains sur les yeux de l’aveugle et celui-ci retrouva la vue.

En fait la foi émane de l’individu qui projette sur une personne, un objet, un DIEU , une confiance totale sur le potentiel de ceux-ci à répondre à la demande. En Inde il y a partout des milliers d’autels, chaque famille à son autel, vers lesquels les HINDOUS implorent leurs dieux. A Bali les autels se trouvent partout sur les trottoirs, dans les rues, devant les magasins. On peut voir la foi des personnes venant invoquer les Dieux. Ils croient, ils ont la foi.

Cette force provient de l’état émotionnel particulier que génère l’individu. Cette émotion va exciter les neurones et les synapses et provoquera une imagination, traduite par une pensée précise qui sera le véhicule de la projection biophysique intérieure.

La pensée devient alors une force, je dirai une bioforce capable d’agir sur les éléments visés.